Travail et plaisir ?

Peut on allier le travail et le plaisir ?

Voilà une question que je me suis posé pendant des années, depuis la fin des études en fait et même quelques temps auparavant... Pourtant avec le temps, les illusions et les désillusions se font et se défont. Il apparait comme utopique de joindre le travail et l'agréable. Une partie de ce que l'on a chéri si elle devient du travail sera t-elle encore agréable ?

L'Open Source sera t-il une contrainte ou une liberté ? Une libération ou une aliénation dans le cadre de mes activités... Une solution ou un piège consenti...

Une sorte de chaleur immense me submerge quand je me retourne, les erreurs de hier sont elles déjà celle de demain ...

Vol de Poubelle...

Il fait beau ce matin, hier soir comme la majorité des gens, j'ai pris les bac de poubelle et j'ai posé ces bacs sur laroute ou plutôt sur le trotoit pour permettre aux éboueurs de ramasser tout ça en début de matinée..

Je sors pour faire une course, ma compagne me demande de rentrer les bacs... qui ont disparus !

Oui disparu... invisible, pas dans la rue, pas dans l'axe de notre vision. Je fais le tour du quartier, pas de poubelle ... Je regarde dans les halls des immeubles en face... rien ...

Je commence à rire ... On nous a "tirer" la poubelle... Bienvenue dans le 21 ème siècle !

Le voisin est dans son jardin... Nous lui en parlons ... et nous partons...

Deux heures après ... elle nous attendais devant la porte... comme les chats !
Elle a dit prendre un moment ... sortir en boite et rentrer un peu tard !

Socialisme & libéralisme...

Nous y sommes l'Europe n'a pas changé de face finalement... Elle aurait pu basculer complètement à droite et seulement la France garde ce gouvernement de Droite à tendance libérale, mais à tendance seulement...
L'Espagne est revenu à Gauche ... Le Royaume Uni n'a pas basculé ... l'Allemagne hésite ... et finalement, il reste pas mal de cette Europe rose des années 90 où Jospin dirigeait encore la France... Elle seule aura basculé du coté obscur de la force...

Et demain comment va-t-on réagir ? Après une vague rose sur les régions de France, après des élections qui placent les majorités en minorité, après les échecs des différents pays européens et des modèles qu'ils ont proposé à leurs nations pour mettre en place un certain libéralisme. Que reste t-il et quel est la route pour nous ?

Entre un Sarkozy qui choisit ces modèles : Bush, Aznar, Merkels... Des modèles qui gagnent dans leurs pays et une politique nationale qui avance caché que choisir ?!

Voilà le choix qui va nous être proposé dans les mois à venir, un choix proche de celui de nos voisins. C'est ici que l'Europe a gagné et trouvé sa place. Qui il y a vingt ans pensait que l'on pourrait avoir un seconde partie de soirée sur les élections qui plus est en Allemagne...

Les choses ont changé et la prise en compte des idées européennes et de la coopération ou de l'intéraction des gouvernements. Une certaine conscience de nos voisins et des influences de chacun existe aujourd'hui et cette conscience provoque des effets sur les peuples et les opinions publiques... Une sorte de conscience européenne ...

Entre mise en scène des médias pour lesquels les idées sont moins fortes que les images... et les alternances qui n'en sont plus, en se gardant des extrémismes et des réactionnaires qui reviennent comment avance la politique ...

Comme la cité, elle se mondialise...

--

Avant de faire des pages...

Avant de faire des pages et de raconter les histoires de toutes ces dédicaces quelques images et quelques scans des dédicaces que nous avons... déjà près de 300 ... et autant d'histoires et de rencontres à raconter !

http://cazajous.hd.free.fr/dedicaces/

--

Télé Travail ...

Travailler à la maison... fantasme ultime des salariés.... cauchemar des donneurs d'ordres...

Optimiser son temps... produire et livrer dans les temps... ajuster les moyens et donc le temps à la complexité et pas à la présence... limiter les bruits de fond... limiter le coffee machine... formaliser les échanges...

Impossible !

Et pourtant, les expériences se succèdent et le travail à distance sans être dans le même bureau tous les jours présente des avantages... Et les inconvénients sont encore souvent culturel plus que organisationnel...

Il existe aujourd'hui une multitude d'outils de la messagerie, la messagerie instantanée, les "white board" ou encore les espaces de partage documentaire, voire des fonctionnalités de "concurrent engeneering" qui permettent de travailler dans un environnement physiquement distribué sur des problématiques différentes.

On trouvait il y a quelques années ces fonctionnalités uniquement dans des progiciels mais aujourd'hui même les outils bureautiques disposent de ce type de fonctions. Les VPNs et l'accès aux différents réseaux est aujourd'hui courant... Il est encore et encore plus simple de mettre en place des solutions riches qui permettent de raccourcir les cycle de décision et de traitement de l'information.

Ces moyens permettent de mettre en place des nouvelles méthodes de travail et d'échange mais celles ci doivent trouver un écho dans les anciens usages ... pour trouver un écho et une adhésion de tous les acteurs de cette communication. Il est important de voir comment chacun va appréhender ces aspects de travail dématérialisé du bureau pour appréhender ce qui peut faire le succès ou l'échec de ces expériences.

Est ce qu'un consultant peut aujourd'hui fournir un service à distance ?

Est ce que les collaborateurs peuvent être sur un site que pour des réunions ?

Est ce nécessaire de disposer d'un bureau dans une officine qui est dédié à chacun des salariés ?

Où s'arrête la mobilité et l'adaptation aux conditions de travail ?

Qui sont les itinérants potentiels de ces prochaines années ? Qui sont ces utilisateurs qui profitent des contraintes et des avantages de ne plus travailler sur un site fixe ? Est ce que la mobilité ne sera pas la révolution de l'informatique de ces 10 prochaines années ?

Le conseil, le développement, une très large partie de l'activité de définition des outils et des systèmes informatiques... voir le support sont des activités qui peuvent être mis en place au sein de la société distribuée.

Déjà, les services informatiques des grands comptes débutent des migrations des certains services comme les opérations des systèmes ou encore le support. Le sous traitant qui devient un fournisseur privilègié continue de travailler sur son site et dispose d'accès aux ressources de la société. Bien sûr des gens sont encore obligés de rester sur site... mais une grosse partie des collaborateurs peut ne plus être physiquement là ... et par conséquence, le fournisseur n'a plus deux bureaux mais un seul voir aucun puisque il peut être totalement nomade.

Nomade entre son client et son entreprise... et donc nomade entre le client, l'entreprise et le domicile aussi finalement puisque les lignes dont dispose le particuliers sont aujourd'hui parfois en avance sur ce que les entreprises ont pu mettre en place...

Demain, je me vois bien organiser ma journée différemment : disposer de temps dans les heures de bureau pour faire quelques réunions et quelques conférences pour les affaires, lire toutes les heures ces mails pour mettre en place toutes les réponses "juste à temps", et ensuite organiser une plage de travail plus intensif mais continue sur un autre horaire pour toutes ces tâches qui ne demande pas de collaboration actives. Une plage dans laquelle le travail est efficaceet non perturbé. Une telle organisation permet de passer moins de temps avec plus de résultat mais introduit des contraintes de présence et parfois de disponibilité. Mais les appareils mobiles tel que le téléphone et les PDAs de la dernière génération permettent aujourd'hui de contourner ces contraintes. Et finalement, nous ne sommes pas moins disponible que lors d'une réunion il y a quelques années quand nous n'avions ni pager, ni mobile... Mais c'est un temps que les utilisateurs et surtout les managers ont tous oubliés ?!

Ils semblent que les moyens techniques et organisationnels soient bien disponibles pour mettre en place cette entreprise distribuée mais quelle est la maturité des DSis et des infrastructures pour permettre sans mettre en place une révolution la mise en pratique de ces outils. La réponse est complexe : les DSis sont friands de révolution !

Les changements en douceur ne sont pas le fort des systèmes d'information où les habitudes sont plutôt à la mode : j'avais quelque chose, je le mets à la poubelle et je fais une nouvelle architecture aussi importante, complexe et que je jetterais dans quelques années ... A quand le développement durable dans l'informatique !

La route est encore longue ...



--

Un mot, un jour, un instant

Comment peut on vivre dans un monde où la communication est plus forte que les idées, l'argent plus fort que les idéos... Faut il tout détruire, faut il revenir au grand soir ? Faut il faire ce que d'autres ont fait des "révolutions" de "velour" ou de "rose" ou encore de couleurs ... Des révolutions pacifistes... Simple... Des révolutions comme nous en avans connus ? Faut il prendre les armes ? Quelles armes...
Faut il laisser du temps ... mais à qui ?

Bédéciné n'existe plus ...

Et voilà après une presque année de négotiation et de bruit de couloir, et de rumeur c'est fait depuis le 1er Août et au retour de vacances, c'est effectif... Une surprise, un changement, une révolution.

Je ne vais plus à la librairie... comme je ne vais plus chez l'épicier, je vais chez Carrefour... j'irais là bas...

En somme un temps vient de passer des choses ne se seront plus jamais comme avant ... heureusement il en existe encore des librairies... et bien que les libraires soient encore là, ce n'est plus tout à fait pareil !

... on dit Album maintenant !

PS : pas de fotos de la dédicaces de Yohann ... Il ne le souhaite pas ! Aucun soucis je garde !

Une ballade dans l'imaginaire...

A quoi fait on la différence entre les hommes et les animaux : les hommes savent rêver !

Ils savent même partager leurs rêves et leurs abstractions, loin de la matérialité de l'instant et des objets, ils sont capable de projection. De leur propre projection, et cela rapidement.

Inné ou acquis, je dirais que l'acquis n'a pas le temps de rentrer en ligne de compte dans ce processus, il est même plus profond que cela puisque il n'a pas encore conscience de sa matérialité ...

La ballade devient ainsi un référentiel, une façon de se déplacer de se positionner dans le temps et dans l'espace ...

La BD est alors une projection de cette balade, une matérialisation comme d'autres. Il se propose de donner un corp et un cadre à l'imaginaire. Il devient le support de nos rêves, le support de nos craintes et de nos peurs...

Il est à la fois le receptacle et le mirroir de nos aspirations mais c'est aussi la référence de nos mauvais aspects... Positif et négatif ... La BD prend alors une dimension que les autres moyens d'expression ne peuvent pas prendre, elle est à la fois dans l'instant et dans le temps : dans l'instant de l'appréhension de l'image mais dans le temps de la compréhension de la narration. Un intermédiaire qui figure et permet de projeter ...

Une aventure en quelques pages... un rêve, un instant ...

Quand je lis un album de bande dessinée...

(la suite, version 2)

Quand je lis un album de bande dessinée... toute une aventure se met en place ! Ce n'est pas anodin, il faut une organisation, un contexte , une ambiance. Je ne lis pas comme je consomme un café, j'observe, je regarde, je tourne autour.

L'objet, le livre est important, il faut le sentir, le tenir, le maitriser, le comprendre...
Il se met en place une relation avec l'objet et avec son contenu, on appréhende la lecture comme un instant différent, particuliers. On regarde, on lit, on s'écoute. Une façon de rencontrer un objet, une histoire mais aussi un graphisme, une ambiance...

Deux albums qui m'ont marqué par exemple, le Troisième Testament. La première fois, il vous prend, le rythme, l'histoire, le graphisme, une sorte de tourbillon qui comme un bon film nous entraine. Mais à la différence du film et du livre, on le relis, on reviens sur des images, des sensations qui sont le reflet de ce que l'on voit.

Le second, et cela n'étonnera personne, c'est le Régulateur. Je me souviens bien pour les deux albums de cet instant où je les ai eu dans les mains pour la première fois et de la façon dont je l'ai lu.

Pour le Régulateur, j'étais à Angoulême, au festival, mon premier festival d'Angoulême. Je suis accroché par la couverture. Je prends l'album. Je le tourne et le retourne... Je l'ouvre, et c'est le choc, le choc des couleurs et des ambiances. Je retrouve quelque chose de particuliers... d'unique !

Et après tout s'enchaine ...
(A suivre ...)

A suivre toujours parce que je n'ai pas le temps de finir ces articles alors comme à chaque fois pour la troisième partie... je reprendrais tout le texte pour voir ... et pour suivre cette aventure si particulière de la bd dans les mains...

Des nouveautés chez Apple

Impatient, attentiste : quelles vont etre les nouveautés que Apple va présenté aujourd'hui ? Serais ce enfin le iPhone, cet iPod qui sera toujours avec nous ? Serais ce l'iPod video qui sera quand meme moins interessant ou encore autre chose ?
Peut etre un PDA sous Mac OS X ? Enfin comme toujours l'evenement arrive de Cuppertino et nous mets en alerte ...

Frabègues 2005 : Grand Cru

Youps de retour de Fabrègues : quelle journée !
Premier festival pour Milo, nouveau décors, le festival s'étant déplacé dans un chateau viticolle ... Plein de soleil, un peu de monde comme toujours et beaucoup d'auteurs !

Pour une première dans le domaine : une belle cuvée !

Organisation impeccable : accueillante, bienveillante, une mise en place et une mise en scène impeccable, un encadrement des auteurs parfait et finalement une sensation de festival qui dit reviens-y ! Ce n'est pas toujours le cas mais aucun reproche !

La "taverne" était aussi présente avec des petits plats au choix pour le midi et pour un prix en plus raisonnable ... Les copains étaient là aussi entre autres les Nîmois que nous n'avions pas vu depuis longtemps... trop longtemps... En somme un vrai festival comme ceux qui nous les ont fait aimé et qui permet de dire que la BD est encore quelque chose ou le commerce n'est pas là en premier.

Une douce torpeur pour reprendre la saison des festivals, une belle initiative et un bizutage pas mal pour Milo... qui aura quand même voulu têté au moment ou Papa passait chez Monsieur Meynet et Maman chez Monsieur Bessadi ... Quand la gestion des priorités revient encore à Milo : mais dans la queue est ce qu'il compte pour un ?

Enfin quelques instants de tout ca par là : http://cazajous.hd.free.fr/gallery/fabregues2005...

Et vivement Fabregues 2006 !

Ca y est : je scanne ...

Apres des mois et des mois d'hésitations et de tergiversations, je scanne les dédicaces ... près de 300 pages de BDs à scanner ... un joli chantier mais je crois que tous les mois de septembre sont propices à ce genre de travux ...

Déjà l'an dernier, BDGest avait remplacé des méthodes plus artisanales de gestion des albums et de la collection ...

Maintenant, c'est au tour des images de s'enrichir... restera encore à scorer tous ces albums histoires de classer les meilleurs...

Bientôt une galerie en ligne pour expliquer ce que l'on a ... bientot ... d'autres doivent arriver encore et encore ...

Le Réveil matin est maintenant inutile ...

Nous devions partir ... tot !

Pour cela le vieux réveil matin était remonté ... tout prêt à sonner ...
Mais aujourd'hui il est dépassé... nous avons ...

... un bébé !

Merci Milo !

Demain sur la Route

Retour vers le futur ... youps après quelques semaines de pause pour la naissance de Milo, l'asticot, nous revoilà sur la route non plus à 2 mais à 3. Non plus en Polo mais en Zafira... Non plus avec des BDs mais avec des couches dans le sac pour la reprise de notre tour de France des festivals BD ...

La saison avait bien commencé avec Angoulême et c'était arrêté de suite ... pour cause de grossesse, elle commence ainsi pour de vrai cette semaine avec le festival de Fabrègues.

Pour la 4 ème année consécutive, nous voici en vadrouille dans l'Hérault pour partager une journée de festival. Chaleureux et convival Fabrègues marque la reprise après la torpeur de l'été et avant le rude hiver. C'est un festival qui reste familial et attractif pour des "sales" collectionneurs comme nous ... alors pas d'hésitation et en route vers la côte !