Hier encore, ou peut être avant hier... Je ne m'en souviens plus autant que j'ai pu m'en souvenir... Hier encore, je comprenais une échelle de temps...
Aujourd'hui tout s'accèlere, se compresse et finalement, il n'existe plus de repères, plus de choses stables dans les échelles de temps que l'on a.
Hier une décision prenait 3 jours, aujourd'hui elle prend 5 minutes et son contraire est déjà en place le lendemain.
La déformation du temps est peut être dûe aux moyens de communication, au média, à notre rythme de vie... je ne sais pas, mais des fois j'aimerais m'ennuyer un peu...
Pour perdre du temps...
30 septembre, 2006
27 septembre, 2006
Un réseau, comment ça, des cables ?
Le Net est aujourd'hui un réseau géant, il est tellement grand et les nouvelles applications que l'on nous propose sont tellement, novatrice que l'on ne sait même plus utiliser les outils et les artéfacts que l'on nous propose...
Il y a quelques jours un ancien collègue de travail m'envoye une invitation Viaduc... tiens, je me souviens que depuis quelques années, j'ai un compte sur LinkedIn... et que je ne m'en sers que très peu alors que finalement c'est rigolo comme outil.
A mis chemin entre les outils comme les Copains d'Avant et les outils de recherche de boulot, ça permet de garder des traces de ceux avec qui l'on a partagé un bout de chemin... Des amis, des collègues, des compétences et des souvenirs... une sorte de grand écart très agréable à parcourir. Au fur et à msure des recherches et des parcours de CV ou des chemins qui ont été suivis par les uns et les autres, on revit des instants, des moments, un retour vers le futur ...
Alors j'ai mis en place un profil, des liens et je fais moi aussi un peu de social blogging... Que vais je y gagner... pas grand chose, sauf si peut être une bouffe ou deux avec des vieux ou des nouveaux amis avec qui j'apprécie de passer un moment... de travailler et tant d'autres choses !
Voilà encore quelques liens :
Une journée... différente en somme...
Il y a quelques jours un ancien collègue de travail m'envoye une invitation Viaduc... tiens, je me souviens que depuis quelques années, j'ai un compte sur LinkedIn... et que je ne m'en sers que très peu alors que finalement c'est rigolo comme outil.
A mis chemin entre les outils comme les Copains d'Avant et les outils de recherche de boulot, ça permet de garder des traces de ceux avec qui l'on a partagé un bout de chemin... Des amis, des collègues, des compétences et des souvenirs... une sorte de grand écart très agréable à parcourir. Au fur et à msure des recherches et des parcours de CV ou des chemins qui ont été suivis par les uns et les autres, on revit des instants, des moments, un retour vers le futur ...
Alors j'ai mis en place un profil, des liens et je fais moi aussi un peu de social blogging... Que vais je y gagner... pas grand chose, sauf si peut être une bouffe ou deux avec des vieux ou des nouveaux amis avec qui j'apprécie de passer un moment... de travailler et tant d'autres choses !
Voilà encore quelques liens :
Une journée... différente en somme...
24 septembre, 2006
Petite & Grande Histoire de l'informatique des Portails d'Entreprise
Qu'est ce qui pousse une entreprise à mettre en place une solution de portail ? Qu'est ce qui permet d'investir sur des environnements qui ne seront que des points d'accès ? Qu'est ce qui fait que l'on met à jour son ordianteur tous les jours sans que l'on ait de nouveau besoins ? Pourquoi je suis accro au Web ?
Entre petite et grande histoire, comment est ce que je suis capable de mettre en place un portail dans une société !
Si l'on regarde l'histoire des portails et des créneaux que le Web a construit, on remarque que les entreprises ont toujours eu un temps de retard sur le marché mais quelque soit la technologie, ils ont toujours implémenté la génération en cours quelque soit sont intérêt dans le cadre de l'entreprise... Ainsi, on a vu des outils et des générations de consultants se battrent pour des choses essentielles dans les systèmes d'informations mais qui n'ont eu aucun intérêt pour les utilisateurs de ce même système... Si ce n'est une maîtrise du changement et finalement une habitude de subir les changements imposés que les nouveaux outils soient utiles ou pas...
Un mal pour un bien, dans le changement, ils ont appris à utiliser et maitriser les outils informatiques qui sont devenus des compagnons et moins des freins à la réalisation de nombreuses tâches... mais dans la partie négative une partie des gens ne sait plus travailler sans... et d'outils de support, ils sont devenus outils de travail sans avoir la maturité du marteau !
Entre petite et grande histoire, comment est ce que je suis capable de mettre en place un portail dans une société !
Si l'on regarde l'histoire des portails et des créneaux que le Web a construit, on remarque que les entreprises ont toujours eu un temps de retard sur le marché mais quelque soit la technologie, ils ont toujours implémenté la génération en cours quelque soit sont intérêt dans le cadre de l'entreprise... Ainsi, on a vu des outils et des générations de consultants se battrent pour des choses essentielles dans les systèmes d'informations mais qui n'ont eu aucun intérêt pour les utilisateurs de ce même système... Si ce n'est une maîtrise du changement et finalement une habitude de subir les changements imposés que les nouveaux outils soient utiles ou pas...
Un mal pour un bien, dans le changement, ils ont appris à utiliser et maitriser les outils informatiques qui sont devenus des compagnons et moins des freins à la réalisation de nombreuses tâches... mais dans la partie négative une partie des gens ne sait plus travailler sans... et d'outils de support, ils sont devenus outils de travail sans avoir la maturité du marteau !
21 septembre, 2006
Association... Bébés Dauphins...
Et voilà, après près de 10 ans de sommeil de l'associatif depuis la fin de la grande période étudiante... Près de 10 ans où même si des activités associatives n'auront pas été mes principales occupations, elles ont existé de façon latente, en sachant parfaitement qu'un matin, ce serait de nouveau l'ordre du jour.
Le temps est revenu...
Il y a bien eu des soubresauts avec une asso rugby, un peu de politique, un peu de syndicat... un peu beaucoup de BD... mais pas vraiment une asso... et là retour sur des choses pour le petit :
L'association des bébés nageurs de Toulouse... les Bébés Dauphins Toulousains !
Pourquoi faire de l'associatif, pourquoi revenir sur des activités associatives ? Certains disent que c'est pour paraitre utile, pour faire du bruit. Dans ce mouvement ma ligne est plus claire : j'ai parlé, beaucoup... trop... donc j'assume et je fais ce que je dis.
Une façon de faire et de dire : si je veux m'exprimer je ne peux pas critiquer si je ne mets pas en oeuvre les éléments qui font que je peux parler. Et dans ce cas, je suis exactement là. Avant de partir il y a 3 mois à l'assemblée générale de cette association dont j'étais qu'un simple membre jusque là, ma compagne me dit : "tu vas revenir après t'être fait embarqué !"...
Il y a des signes qui ne doivent pas tromper.
Je suis parti. Patient et attentif, j'ai écouté, les esprits se sont échauffés... Pour rien souvent, mais comme dans ces associations et dans notre société de consommation, quand on vient chercher un service, on ne sait pas qui le rend... On ne cherche pas à comprendre... On prend.
Ici, beaucoup on pris... Le ton est monté, et dans l'instant, il faut être fidèle à ses convictions... Je l'ai été, un peu vite dans la précipitation, dans l'urgence mais sans jamais le regretter... Au contraire !
Voilà une opportunité de reprendre une vie différente...
Et pour faire original je m'occupe de ce qui est en ligne... pour le moment c'est pas moi qui ait fait ça... j'ai un peu honte je sais ...
http://www.bbdt31.org/
Le temps est revenu...
Il y a bien eu des soubresauts avec une asso rugby, un peu de politique, un peu de syndicat... un peu beaucoup de BD... mais pas vraiment une asso... et là retour sur des choses pour le petit :
L'association des bébés nageurs de Toulouse... les Bébés Dauphins Toulousains !
Pourquoi faire de l'associatif, pourquoi revenir sur des activités associatives ? Certains disent que c'est pour paraitre utile, pour faire du bruit. Dans ce mouvement ma ligne est plus claire : j'ai parlé, beaucoup... trop... donc j'assume et je fais ce que je dis.
Une façon de faire et de dire : si je veux m'exprimer je ne peux pas critiquer si je ne mets pas en oeuvre les éléments qui font que je peux parler. Et dans ce cas, je suis exactement là. Avant de partir il y a 3 mois à l'assemblée générale de cette association dont j'étais qu'un simple membre jusque là, ma compagne me dit : "tu vas revenir après t'être fait embarqué !"...
Il y a des signes qui ne doivent pas tromper.
Je suis parti. Patient et attentif, j'ai écouté, les esprits se sont échauffés... Pour rien souvent, mais comme dans ces associations et dans notre société de consommation, quand on vient chercher un service, on ne sait pas qui le rend... On ne cherche pas à comprendre... On prend.
Ici, beaucoup on pris... Le ton est monté, et dans l'instant, il faut être fidèle à ses convictions... Je l'ai été, un peu vite dans la précipitation, dans l'urgence mais sans jamais le regretter... Au contraire !
Voilà une opportunité de reprendre une vie différente...
Et pour faire original je m'occupe de ce qui est en ligne... pour le moment c'est pas moi qui ait fait ça... j'ai un peu honte je sais ...
http://www.bbdt31.org/
Toulouse, 2001 - 2006 : 5 ans après ...
Cela fait 5 ans, 5 ans que l'on attend, 5 ans que l'on nous parle de 10 jours avant mais surtout 5 ans quelque chose à changer chez nous à Toulouse. 5 ans pendant lesquels nous ne sommes pas toujours passé par la Route d'Espagne pour ne pas voir. 5 ans pendant lesquels d'autres se battent et essayent de faire valoir une certaine idée de la justice. 5 ans pendant lesquelles, rien n'a été mis en oeuvre pour pallier les défauts et les limites...
Comme un enfant qui tombe et qui ne veut plus marcher... mais personne pour lui expliquer que c'est la vie, personne pour lui montrer la voie... Rien, le vide... Même les gens oublient... presque.
Comme un enfant qui tombe et qui ne veut plus marcher... mais personne pour lui expliquer que c'est la vie, personne pour lui montrer la voie... Rien, le vide... Même les gens oublient... presque.
20 septembre, 2006
18 septembre, 2006
Pourquoi j'aime la bande dessinée ?
Voilà, une bonne question que je ne me posais pas et qui vient, cette nuit de me sauter aux yeux !
Comment un matin, je me suis réveillé en achetant le Troisième Testament, et comment j'ai commencé à fréquenter des lieux de perdition, pour le porte monnaie : les librairies.
Car finalement, malgré l'enfance et des relations avec la bande dessinée très traditionnelles, Astérix, les bibliothèques, quelques classiques et puis voilà, quelque chose de somme toute simple et que tous les enfants doivent rencontrer, de façon plus ou moins poussé. Et mi 2000, les premier album s'entasse dans la librairie de façon incidieuse. "J'ai lu ça ..." - "T'as vu le dessin, ça le fait..."
Premiers goûts, premières affinités, premières critiques. D'abord très humble : j'aime bien ces couleurs, j'aime bien ce dessin... Compliqué de comprendre à cette époque la narration, le découpage, des graphimes un peu moins "rond"... mais petit à petit, on trouve des points de recontre. Petit à petit, on entend les dessins qui chantent !
On commence par acheter une série, et on fait les premières listes... Il faut construire un fond classique avec les albums que l'on se doit d'avoir : Loisel, Alice, Jacobs, Uderzo, Marini, Vatine, dans le désordre... C'est à ce point que le libraire sourit et que la carte bleu chauffe, il faut acheter et lire, lire et encore lire... On change ensuite, Larcenet, Sfar... mais aussi des choses plus légère, Tarquin, Mourier et puis on apprend, on comprend... et on rencontre des gens formidable : Moreno, Mitric, Defali... et tellement d'autres.
Des jeunes ceux de notre génération, des jeunes auteurs qui galèrent, des anciens établis mais qui restent des gens fabuleux : Dany, Philippe Francq, Jean-Pierre Gibrat, Job, Derib et tellement d'autres. On pense BD, et puis un matin, on se réveille avec non plus quelques albums dans la bibliothèque mais une collection, un vrai rayonnage de d'albums, des préférences, des pièces comme les collectionneurs disent. On apprend à parler "BDM", on aime parler de l'à coté de la bande dessinée, on prend la route d'Angoulême, tous les ans fin Janvier, on prend la route des festivals de façon régulière...
On fait des blogs, on met en ligne des images et des photos... Et pourtant ! et pourtant, est ce que l'on reste fan, est ce que l'on continue à lire des albums, est ce que l'on continue à profiter : oui, oui et encore oui !
Comment un matin, je me suis réveillé en achetant le Troisième Testament, et comment j'ai commencé à fréquenter des lieux de perdition, pour le porte monnaie : les librairies.
Car finalement, malgré l'enfance et des relations avec la bande dessinée très traditionnelles, Astérix, les bibliothèques, quelques classiques et puis voilà, quelque chose de somme toute simple et que tous les enfants doivent rencontrer, de façon plus ou moins poussé. Et mi 2000, les premier album s'entasse dans la librairie de façon incidieuse. "J'ai lu ça ..." - "T'as vu le dessin, ça le fait..."
Premiers goûts, premières affinités, premières critiques. D'abord très humble : j'aime bien ces couleurs, j'aime bien ce dessin... Compliqué de comprendre à cette époque la narration, le découpage, des graphimes un peu moins "rond"... mais petit à petit, on trouve des points de recontre. Petit à petit, on entend les dessins qui chantent !
On commence par acheter une série, et on fait les premières listes... Il faut construire un fond classique avec les albums que l'on se doit d'avoir : Loisel, Alice, Jacobs, Uderzo, Marini, Vatine, dans le désordre... C'est à ce point que le libraire sourit et que la carte bleu chauffe, il faut acheter et lire, lire et encore lire... On change ensuite, Larcenet, Sfar... mais aussi des choses plus légère, Tarquin, Mourier et puis on apprend, on comprend... et on rencontre des gens formidable : Moreno, Mitric, Defali... et tellement d'autres.
Des jeunes ceux de notre génération, des jeunes auteurs qui galèrent, des anciens établis mais qui restent des gens fabuleux : Dany, Philippe Francq, Jean-Pierre Gibrat, Job, Derib et tellement d'autres. On pense BD, et puis un matin, on se réveille avec non plus quelques albums dans la bibliothèque mais une collection, un vrai rayonnage de d'albums, des préférences, des pièces comme les collectionneurs disent. On apprend à parler "BDM", on aime parler de l'à coté de la bande dessinée, on prend la route d'Angoulême, tous les ans fin Janvier, on prend la route des festivals de façon régulière...
On fait des blogs, on met en ligne des images et des photos... Et pourtant ! et pourtant, est ce que l'on reste fan, est ce que l'on continue à lire des albums, est ce que l'on continue à profiter : oui, oui et encore oui !
17 septembre, 2006
C'est quoi l'actualité aujourd'hui ? Une génération sacrifiée
Comment se fondre dans l'actualité ...? Qu'est ce que l'actualité aujourd'hui ? Comment se positionner dans les actualités. Comment se mettre en perspective avec les échéances qui se profilent.
Sommes nous la génération sacrifié ? Plus que jamais je pense et je suis aujourd'hui certain que notre génération est celle qui est aujourd'hui entre deux eaux... Entre la génération de nos parents qui à tout eut, celle de nos enfants à qui espéront le nous rendrons une terre un peu moins mal en point et un peu moins usée que celle que nous ont laissé nos parents...
Ces parents qui ont connu seulement, la guerre mais la fin... pas grand chose et de cette fin, ils ont seulement, vu les ravages et profiter de la remontée... des effets positifs de ce qu'ils ont appelé les 30 glorieuses, puis de ce que la libération sexuelle et encore des progressions que cette génération en manque d'éducation à connu en face de nous, qui avons fait des études qui sommes diplomés, sur-diplomés, mais qui galèreront toute la vie.
Ces gens qui ont sus ce que l'ascenseur social voulait dire... et qui en ont tellement profiter que pour eux il faudra tout payer... Depuis le travail qu'ils ont le système social, l'immobilier, les retraite... et que restera t-il pour nous ?
D'accord ils se sont révoltés contre leurs parents mais pour qui : pour eux, toujours pour eux, définitivement pour eux... et que reste t-il pour leurs enfants ? Rien des miettes...
Sommes nous la génération sacrifié ? Plus que jamais je pense et je suis aujourd'hui certain que notre génération est celle qui est aujourd'hui entre deux eaux... Entre la génération de nos parents qui à tout eut, celle de nos enfants à qui espéront le nous rendrons une terre un peu moins mal en point et un peu moins usée que celle que nous ont laissé nos parents...
Ces parents qui ont connu seulement, la guerre mais la fin... pas grand chose et de cette fin, ils ont seulement, vu les ravages et profiter de la remontée... des effets positifs de ce qu'ils ont appelé les 30 glorieuses, puis de ce que la libération sexuelle et encore des progressions que cette génération en manque d'éducation à connu en face de nous, qui avons fait des études qui sommes diplomés, sur-diplomés, mais qui galèreront toute la vie.
Ces gens qui ont sus ce que l'ascenseur social voulait dire... et qui en ont tellement profiter que pour eux il faudra tout payer... Depuis le travail qu'ils ont le système social, l'immobilier, les retraite... et que restera t-il pour nous ?
D'accord ils se sont révoltés contre leurs parents mais pour qui : pour eux, toujours pour eux, définitivement pour eux... et que reste t-il pour leurs enfants ? Rien des miettes...
15 septembre, 2006
Quand une journée est trop longue, ...
Illusions, imagination, images, imaginaire...
Quand une journée est trop longue, elle finit par parler, par se raconter, se déformer... Elle laisse entrevoir des possibilités, des alternatives. A la différence d'un inexorable couché de soleil, à la différence de ces matins radieux, il laisse entrevoir un chemin, une route... parfois rocailleuse, mais tellement plus agréable à suivre...
Quand la journée est trop longue, la fatigue prend la place de la réflexion, les esprits deviennent chagrins et finalement, rien ne reste dans ces chemins. Le sentier est alors, plus compliqué, plus rude, mais il n'en est que plus passionnant de suivre ces chemins.
Quand la journée est trop longue, la nuit nous rattrape, le jour est encore loin, quand perdu dans la nuit, les espoirs et les illusions se sont envolées... Il ne reste rien, alors même l'imagination fini par disparaître avec les dernières lueurs de la Lune... Le soleil ne veut pas encore éclairé ces utopies...
Quand la journée est trop longue, c'est le tour des mots de remplacer les actes. Les crayons courent sur le papier, les mots se forment et malgré la pénombre, malgré la Lune, il ne reste rien que ces mots qui résonnent... De plus en plus fort !
Quand la journée est trop longue, la nuit est noire, de plus en plus noire. Les mots sont prisonniers de cette nuit, enfermés, tordis, déchirrés...
Quand la journée est trop longue, la nuit est trop courte...
Quand une journée est trop longue, elle finit par parler, par se raconter, se déformer... Elle laisse entrevoir des possibilités, des alternatives. A la différence d'un inexorable couché de soleil, à la différence de ces matins radieux, il laisse entrevoir un chemin, une route... parfois rocailleuse, mais tellement plus agréable à suivre...
Quand la journée est trop longue, la fatigue prend la place de la réflexion, les esprits deviennent chagrins et finalement, rien ne reste dans ces chemins. Le sentier est alors, plus compliqué, plus rude, mais il n'en est que plus passionnant de suivre ces chemins.
Quand la journée est trop longue, la nuit nous rattrape, le jour est encore loin, quand perdu dans la nuit, les espoirs et les illusions se sont envolées... Il ne reste rien, alors même l'imagination fini par disparaître avec les dernières lueurs de la Lune... Le soleil ne veut pas encore éclairé ces utopies...
Quand la journée est trop longue, c'est le tour des mots de remplacer les actes. Les crayons courent sur le papier, les mots se forment et malgré la pénombre, malgré la Lune, il ne reste rien que ces mots qui résonnent... De plus en plus fort !
Quand la journée est trop longue, la nuit est noire, de plus en plus noire. Les mots sont prisonniers de cette nuit, enfermés, tordis, déchirrés...
Quand la journée est trop longue, la nuit est trop courte...
07 septembre, 2006
06 septembre, 2006
03 septembre, 2006
Fabrègues 2006 - Jetez l'encre : En Attendant...
Nouvel épisode des aventures en festival de Bande dessinée, au milieu des vignes, au pied du chateau, durant les vendanges...
Une fois de plus, retour de Fabrègues !
Premières images pour des retrouvailles avec ce qu'il est normal d'appeler la bande à Nico maintenant, mais aussi une rencontre pour Gaëlle avec Laurent Vicomte, une vrai rencontre que l'on aura attendu mais dont nous aurons eu une vrai occasion.
Et quelques images...
Une fois de plus, retour de Fabrègues !
Premières images pour des retrouvailles avec ce qu'il est normal d'appeler la bande à Nico maintenant, mais aussi une rencontre pour Gaëlle avec Laurent Vicomte, une vrai rencontre que l'on aura attendu mais dont nous aurons eu une vrai occasion.
Et quelques images...
Inscription à :
Articles (Atom)