Gaston a 50 ans !

From Gaston

Félicitations...

Bien que fan de Bande dessinée, Gaston a une place différente dans ma culture BD. Il n'est pas un héro, il n'est pas l'Astérix de mes aventures d'enfant, il n'est pas le Marbourg de ma découverte de la Bande dessinée "Adulte", il n'est pas la Pelisse, ou le Peter Pan des grandes séries que j'ai pu aimé, il n'est pas XIII, ni un méta baron...

Gaston, c'est autre chose.

Gaston, c'est une tranche de vie, c'est celui à qui l'on ressemble, ce n'est pas le héro, c'est nous. A la fois dans le graphisme et dans sa façon d'être. C'est nous mais c'est aussi l'autre. Celui de qui on se moque mais doit on ?

Le portail d'entreprise : une solution ?

Qu'est ce qu'un portail ? Comment ça marche ?
A quoi ça sert ? Voilà des questions existancielles pour les entreprises et pour les utilisateurs qui après des années d'annuaires Yahoo ne savent finalement toujours pas ce que pourrait être un portail d'entreprise pour eux ...

Un portail se voulait quelques années en arrière une page d'introduction des services, elle permettait de faire l'inventaire de ce qui était accessible, disponible, capable dans une infrastructure et permettait aux utilisateurs de se souvenir d'une adresse unique. De fait, les services évoluant, cette page a pris deux chemins, d'un coté l'annuaire de liens, de l'autre le moteur de recherche... D'une part la référence est explicite de l'autre, elle est implicite.

Cette approche permet de créer ce fameux point unique pour l'utilisateur mais surtout elle permet au service en l'occurence les Wanadoo, Yahoo et autres, de constituer une façade qui va permettre de transformer la connexion en un vecteur de publicité et en une vitrine de ce que l'on peut offrir.

Rapidement, comme dans les panels des sondeurs, il est apparu qu'il était aussi possible de mettre en avant, la capacité à prendre en compte les profils des utilisateurs. Pour ce faire, deux approches : l'explicite, je consolide un référentiel d'information que l'utilisateur lui même à explicité, ou l'implicite, j'analyse la navigation, les usages et les échanges de l'utilisateur pour construire un graphe de son profil et en faire un graphe de décisions dans son abonnement à des groupes et des publicités.

Le créneau est en place...

Un créneau mais surtout un concept, et le propre d'un concept est de permettre ensuite son implémentation si il ne veut pas rester une idée souvent farfelue...

L'implémentation et la réalisation est la clé : comment mettre en place un service partiel qui permet de donner l'idée sans avoir à mettre en place des big bang dans les systèmes d'informations. Comment mettre en place des applications qui sont dans les pages, c'est à dire des interfaces qui ne sont pas des pages web mais bien des composants. Et des composants qui communiquent entre eux, soit de façon effective soit de façon masquée.

L'idée de mettre en place des applications de ce type est à l'opposé du sens des éditeurs de solutions informatiques. Pendant longtemps et aujourd'hui encore les éditeurs et les vendeurs de solutions proposent des cathédrales. Petit, il est simple de s'adosser à l'une de ces cathédrales pour prendre en compte les besoins de son système d'information et de servir ces utilisateurs sur les bases de la solution retenue.

Pour les Grands, le problème est relativement plus complexe, il est non seulement pas possible de faire un "reset" de l'existant, et donc la reprise des existants est souvent une clé, ou tout au moins la conduite du changement dans ce contexte et l'éducation des utilisateurs du système d'information et des décideurs de ce système est critique. Mais par ailleurs, la compléxité des systèmes engendre l'apparition de toutes les cathédrales dans la maison qui devient trop étroite.
Le challenge est alors de comprendre le système d'information pour "exposer" ou mettre en évidence les clés qui vont conduire les utilisateurs à gagner en productivité et pas uniquement à subir les outils qui sont déployés en ordre dispersé...

(à suivre)

Grand Chelem ... Les Années en 7 !

Et bien pour une fois, hier soir, je me suis fais plaisir devant un match international. Bien sûr, on a gagné, les Gallois ne sont pas les Diables Rouges que la presse met en avant, bien au contraire, ces Gallois sont faibles, très faibles et surtout ont des gros passages à vide... Comme nous finalement.

Mais pour une fois, j'ai vu des gros dans le sens de la marche et pas uniquement pour taper dans les murs, j'ai vu des trois quart en ligne et tenter de se faire des passes, j'ai vu des passes et pas des passes vrillées toute l'après midi, j'ai vu des défenses intelligentes et pas des tampons pour le fun... En somme, je crois bien avoir vu un match de rugby aussi simplement que cela...

Un match de rugby, un match de XV et pas un match de quelque chose de moderne entre le XIII et le XV... Un match de ce rugby moderne tellement aseptisé et banal. De la créativité de l'envie et finalement, un bon moment de plaisir, des choses à dire, des commentaires à faire, refaire et défaire... Des discussions qui sont celles qui nous nourissent d'histoires et qui illustrent les longues soirées à boire des bières. Cette soirée d'hier devrait être de celle là.

Peut être la soirée qui mènera au Grand Chelem de l'année en 7. Nous avons fait le plus beau en 1977 à XV seulement, en 1987 avec l'équipe qui devait finir à l'Eden Park après avoir connu la gloire en Australie, puis en 1997, celle qui serait les héros de Twickenham deux ans plus tard... Et si cette année encore les années en 7 étaient la référence du rugby français... La référence des renouvellement peut être...

Il est écrit dans la presse ce matin que la France est autonome, qu'elle n'a plus besoin de Laporte comme avant que les hommes se sont pris en charge. C'est drôle, un entraineur qui prend du recul et un style de jeu qui renait...

Dans tous les cas, on a passé une bonne soirée...

Google way of life

Si l'un des moteurs de recherche fait des efforts pour mettre à disposition des outils et des solutions pour les utilisateurs de l'internet, c'est bien Google...

Entre les services : Gmail, Docs & Spreadsheets, Calendar qui permettent de prendre en main une suite "bureautique" totalement en ligne, et son pendant pour son nom de domaine "Gmail for your domain", on trouve une collection de solution des plus intéressantes et des plus performantes en terme à la fois d'ergonomie Web et d'utilisabilité.

Ce sont d'ailleurs ces critères qui font le succès, ce ne sont pas les premières solutions "en ligne" qui existent sur le marché, le monde de l'Open Source a proposé bien des solutions, plus ou moins complètes, plus ou moins intégrées avec des fonctionnalités allant jusqu'à la synchronisation avec des PDAs depuis le Web, mais jamais l'utilisabilité des outils est allés là où se positionne aujourd'hui Google. Bien que des produits comme Picasa Web Album soit un ton en dessous, on voit le travail de fond qui est mis en place pour inventer et proposer des innovations en terme de méthodes de travail.

Bien sûr le modèle peut faire peur, les données ne sont plus chez moi, ils peuvent les analyser, mais d'un autre coté, j'ai moins de chance de les perdre, et je ne suis plus dépendant de mon système. J'ai un outil pour accéder aux contenus et ailleurs mes contenus. Les entreprises feraient bien de s'en inspirer dans les designs d'architecture de système que nous pouvons leur proposer...

Google travaille pour les utiliusateurs mais aussi pour les webmasters... Enfin, les outils de suivi de la vie de son site sont de plus en plus nombreux et de plus en plus pertinent : entre Google for Webmaster et Google Analytics, une chaine complète de la qualification dans les moteurs de recherche des axes clés que l'on veut exposé à la consultation des résultats de cette consultation et des parcours des visiteurs sur son site toute la chaine est couverte.

Reste maintenant à savoir si cette technologie est faite pour rester chez eux ou si demain ces outils seront exploitable ailleurs : dans une société comme des briques de bases, hébergé et opéré par la structure Google, mise en place par eux... De ces choix dépend le modèle de la collaboration de demain.

Il a été mis en évidence que l'on pouvait travailler en ligne, que la collaboration ne passait pas que par des mails et des choses simples, comment transformer maintenant les usages dans les entrerprises par les modèles, les architectures et les systèmes.

http://foto.cazajous.net/, une galerie photo, basé sur les ressources Flickr... par l'exemple.

Depuis quelques mois, j'aime beaucoup le service Flickr et j'ai eu l'occasion de mettre en ligne quelques images par là ! Je recherchais une façon de mettre en évidence un galerie et proposer à partir des outils qui sont disponible sous la forme de service en ligne mes images et je suis tombé sur ce tutorial que je reprends et adapte...

Voilà un tutorial que je reprends et adapte depuis ce site :
http://www.virusphoto.com/1887-creez-votre-propre-site-web-en-utilisant-les-images-de-votre-album-flickr.html

La question est de se dire comment mettre en place une galerie d'image dynamique sans prendre des années et comment la maintenir avec des images fraîches au jour le jour... La solution : utiliser les mêmes outils que d'habitude, Flickr, et quelques pages HTML... Comme Flickr à son nouvel ami, Picnik, on a une solution qui tient pas mal la route et qui une fois en ligne va se positionner sans avoir à garder son ordinateur pas loin...


Un site web avec mes images Flickr

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Flickr est le site de partage de photos le plus utilisé, perso, cela fait un peu plus d'un an que je l'utilise. Il est possible d'envoyer simplement les images vers Flickr, avec tout une série d'outils plus ou moins intégré dans les outils de gestion des images de façon simple et efficace.

Quand on construit un site Web, la mise en place via FTP ou l'upload des images l'une après l'autre est assez barbare... et une approche permettant de mettre en ligne directement des images sur son web à partir de ce que Flickr propose est sympa et plus simple.

La méthode ici va proposer d'utiliser deux outils pour construire un site Web Flash en exploitant un Set Flickr !

Nous allons dans un premier temps mettre en place un site Flash puis lier ce site que nous n'aurons pas à modifier ou mettre à jour avec la mise à jour des images directement depuis le Set Flickr ! Le site sera maintenu uniquement par la gestion des images dans l'application Flickr directement, une image enlevée de cet album ne sera plus sur le site et vice versa !

Nous allons utiliser Simple Viewer et Flickr Viewer.

Dans un premier temps j'ai crée un album (set Flickr) qui s'appelle Another Gallery, ce set servira de base à la publication du site que je vais construire. Pour construire ce set, je mets en place directement dans l'outil Flickr la construction d'un set.

Nous allons construire un site web pour cela il va falloir disposer d'un espace, j'ai fais le choix de prendre un espace chez Free.fr, nous verrons dans la suite que nous allons de plus abstraire le lien vers cet espace en mettant en place, une redirection DNS permettant de donner au site et donc à la galerie, une adresse compréhensible par le commun des internautes !

D'autres solutions d'hébergement peuvent être choisi, quelques contraintes existent liés aux outils utilisés qui nécessité certaines fonctions PHP disponibles. En particuliers, il est nécessaire que la fonction fopen soit disponible. L'approche retenu ne nécessite pas de base de donnée puisque toutes les informations sont distantes sur le site de Flickr et dans les bases de Flickr.

Nous n'allons mettre en place que des couches de présentation et pas de logique ou de traitement dans ces sites.

J'ai donc un expace web disponible sous : http://sebastien.cazajous.free.fr/ et dans cet espace, je mets en place un répertoire permettant d'accueillir mon application PHP et les liens vers Flickr : http://sebastien.cazajous.free.fr/titoFromToulousegallery/.

Je vais faire un tour chez Gandi et je mets en place une redirection DNS qui permet de faire pointer http://foto.cazajous.net/ vers ce répertoire, qui a pour adresse complète : http://sebastien.cazajous.free.fr/titoFromToulousegallery/

On aura pour résultat lors de l'accès à la ressource http://foto.cazajous.net, l'accès à l'espace que l'on est en train de constuire. Les bases sont posés, il faut maintenant mettre en place les outils techniques et logiciels permettant de délivrer le service.

Pour mettre en ligne le site, il va vous falloir les outils traditionnels des webmasters : éditeur html, éditeur d'image pour mettre en place les logos et client ftp pour envoyer le tout chez Free.fr !

Il faut d'abord télécharger les deux packages des applications Simple Viewer et Flicker Viewer... C'est par là !

• SimpleViewer 1.7

(attention, téléchargez bien cette version et pas une autre, sinon celà ne fonctionnera pas).

• FlickrViewer 1.1

Après ces téléchargements, décompressez en local les deux archives dans le même répertoire. Ouvrez le dossier simpleviewer, et remplacez le fichier index.html par le même fichier contenu dasn le répertoire FlickrViewer.

Prenez le fichier "flickrViewer.php" issu du répertoire FlickrViewer et placez le dans le répertoire simpleviewer.

Nous avons tous les éléments pour configurer l'application afin de lier la librairie Flickr et votre set.

Pour cela, nous devons obtenir unr clé d'API de la part de Flickr. Cette clé permet de se connecter à Flickr de façon "batch" sans avoir à se signer avec son login password, et de ne pas conserver dans un fichier ce couple.

Pour obtenir cette clé, il faut autoriser le site web que l'on va crée à joindre Flickr. Il faut aller à cette adresse, se connecter avec son compte Flickr.

Ensuite, Flickr veut quelques informations sur l'usage que l'on veut faire de l'API, il faut compléter le formulaire, choisir l'option "non-commercial use", puis décrire l'application que l'on est en train de constuire dans le champ "Describe the application are you planning to build", par exemple :

I need to have an API key to make use of the Flickr API with FlickrViewer and SimpleViewer (weeting.org/mark/flickrviewer/) on my website (http://foto.cazajous.net).

On valide les conditions d'utilisation et un code s'affiche, il s'agit de la clé à conserver précieusement pour la suite.

Maintenant que la clé est obtenue, on peut configurer les composants pour accéder à Flickr.

Il est nécessaire maintenant de prendre en compte cette clé afin de la positionner dans les codes fournis pour accéder à son compte Flickr, pour cela il faut éditer le fichier flickrViewer.php.

Il est ensuite nécessaire de modifier la clé Flickr à la ligne 22 :

$apikey = 'b4bb27c883f06aa4575c6c346c402749';

Remplacez b4bb27c883f06aa4575c6c346c402749 par votre clé API obtenue ci-dessus.
Attention à bien conserver les apostrophes autour de la clé.

Ensuite, il est nécessaire de modifier l'identifiant du set Flickr. On trouve cet identifiant en allant sur la page du set directement. Ainsi pour une page :

http://www.flickr.com/photos/cazajous/sets/72157594541098365/

La clé du set sera : 72157594541098365 !
On pourra alors modifier le fichier avec la valeur précédente :

$setid = '72157594541098365';

Attention à bien conserver les apostrophes autour de ce chiffre.

Enfin, encore une étape importante, la modification de l'adresse Flickr afin de permettre l'accès à votre album et pas à celui du voisin !

$userurl = 'http://www.flickr.com/photos/cazajous/';

Remplacez cazajous par votre identifiant Flickr.
Attention à bien conserver le "/" final, ainsi que les apostrophes.

On définit ensuite un fichier temporaire, dans le répertoire courant, on crée à la racine du site avec un logiciel FTP, il est nécessaire de mettre en place des droits cohérents sur le répertoire en 777 :

$cache = "tmp/flickr.xml";

Finalement, on prend en compte les préférences, durée du cache :

$ttl = 43200;

Ceci correspond à la période pendant laquelle les photos sont conservées en mémoire (dans le dossier temporaire qu'on vient de créer), en secondes.
Plus cette période est longue, moins votre site n'aura à recourir à Flickr pour aller y chercher des informations.
Mais aussi, moins votre site sera actualisé régulièrement.

43200 secondes correspond à 12 heures, c'est un bon choix. Mais vous pouvez changer cette valeur (0 = rien n'est conservé en mémoire).

Titre du site :

$title = "Another Gallery";

Lien vers Flickr :

$showImageLink = true;

Titre des images :

$showImageCaption = true;

Laissez à true si vous voulez affichez le titre de l'image (récupéré depuis Flickr), ou mettez false si vous ne le souhaitez pas.

Avec quelques notions de HTML, on peut faire beaucoup mieux si nécessaire, mais on peut s'arrêter là... On envoye tout ça sur le site de Free via FTP et ...

http://foto.cazajous.net/
http://sebastien.cazajous.free.fr/titoFromToulousegallery/

Ca marche !

Systèmes Intelligents...

Et voilà, maintenant on parle même des formations que j'ai pu faire... Ca permet de raconter pas trop de bétises !

IUPSI Toulouse TLT
Uploaded by eltonyo

Et oui avant d'être Architecte des Systèmes d'information, j'ai commencé à faire des Systèmes Intelligents... Ca veut tout dire ! Et surtout ça même un peu à tout. La formation n'a pas pour but de former des gens qui travaillent sur les infrastructures informatiques mais plutôt de fournir des couches applicatives de haut niveau en terme de valeurs ajoutées mais aussi d'intégration dans les systèmes. Par exemple, un système vocal ou un système robotique qui fonctionne tout seul, c'est pas mal, mais pour son prix ça sert pas à grand chose !

Enfin, c'est dans le cadre de ces études en travaillant pour des couches hautes que l'on comprend les manques que les couches basses des systèmes d'information demande de prendre en compte et de mettre en oeuvre. En effet faire du design sur des couches hautes sans s'assurer que les fondations sont en place, c'est comme monter sur une échelle dans un bac à sable : des fois ça marche, et des fois ça fait mal.

A partir de ces principes, et de ces prises de conscience, il est plus simple de prendre en compte les interactions et les dépendances entre les couches et donc de faire des designs qui ne soient pas des vues de l'esprit pour chacune des couches mais plutôt un ensemble cohérent.

Je vais prendre un parallèle en Bande dessinée (par hasard ;o) )... Un auteur de bande dessinée ne doit pas mettre en place le plus beau et le plus achevé des dessins pour un album, il doit se mettre au service de son histoire pour "raconter" celle ci et la mettre en valeur, il se sert de son dessin pour "illustrer" sa narration... Et bien en Système d'information, c'est la même chose, l'infrastructure, les applications ne sont là que pour supporter des processus et des métiers...

Et je crois qu'il serait bon de ne pas l'oublier !

Retoucher ses images en ligne à partir de Flickr !

Voilà un pas de plus de franchit dans la mise en ligne de tous nos outils et la fin des clients lourds, pour un temps tout au moins.

http://www.picnik.com/app

J'autorise à accéder à ma bibliothèque en ligne sur Flickr, je me retrouve potentiellement à être capable de manager et de mettre en forme toutes les images de ma collection en ligne. Et pour toute cette collection je dispose d'outils de retouche d'image qui sont de la forme de ce que le client lourd Picasa peut proposer...

Interface Flash, sûrement Flex, plutôt intuitive avec les principes de mettre en place toutes les fonctionnalités dans un bandeau en haut de la page qui trouve son sens quand on est en ligne. Un interface très réactive et très simple pour comprendre ce que l'on fait sur l'image, une interactivité et une information aussi assez évolué sur ce que l'on a réalisé, des capacités d'annulation ou de sauvegarde vers des sources différentes pour ces infos.

Réellement, l'outil est intéressant et propose des choses que l'on ne sait pas adressé encore avec des outils Web, son intégration avec Flickr est excellente grâce aux outils remotes de Flickr et aux services qui sont exposés par l'application qui est ici réellement un service.

Nous y voilà dans le monde grand public et des applications en ligne, nous ne sommes plus dans un monde vertical, une application, est un silo qui permet de mettre en place uniquement une information, les applications sont à la fois :

• une presentation via une interface,
• un métier ou des fonctionnalités
• des données

La mise en place d'interface logiciel à chacun des niveaux va permettre d'invoquer un traitement sur une donnée qui n'est pas issue du service ou de concaténer des informations dans un service qui n'est pas le producteur original de l'information.

Et ceci sans mettre en place de Bus de Service ou de solution SOA comme l'entreprise ou les éditeurs sont en train de convaincre les marchés professionnels. Cette intégration se fait uniquement par la publication d'interface cohérentes et publiques reposant sur des standards que chacun va pouvoir implémenter en proposant une offre qui dispose d'une architecture en deux dimensions :

• verticale avec son interface propre pour délivrer son service
• horizontale pour exposer des capacités de traitement ou de mise en place.

Petit à petit, la mise en réseau et l'information du réseau s'enrichit, elle n'est plus poussée, elle se construit en ligne, elle se modifie, se transforme.

On regarde cette évolution comme celle d'un éco système qui se construit, se transforme.

Et nous ne sommes qu'au début...

Angoulême, la photo du photographe...

foto2foto
Originally uploaded by tito from Toulouse.

Angoulême, Janvier 2007, beaucoup de monde, beaucoup de photographes, beaucoup d'images et pourquoi pas celle du photopgraphe.

Je m'enregistre donc je suis !

Depuis quelques semaines, le web regorge de choses qui ne servent à rien, ou propose toujours des nouvelles fonctionnalités si l'on est enregistré. Toujours cette vieille manie de mettre en place des fichiers et des fichiers sur les visiteurs et sur les quidams qui passent sur un site comme ils passeraient dans la rue...

Une façon de mettre en place une préférence de la connaissance et de l'analyse plutôt que le partage de l'information. Je m'enregistre donc je suis !

http://uselessaccount.com/

Une fois que vous avez ce compte, il ne sert à rien et donc il est totalement indispensable. De fait !

5 reasons, you want one :

• A Useless Account allows you unlimited account editing! You're bound to use it at least once!
• You're addicted to signing up to account-requiring websites the moment they're released just so no one else takes your usual username.
• Get the hot blooded rush of waiting to see if submitting your email address lands you offers of $uper D!$c0unt Ci@li$ (it won't)
• Upgrade your account creating ability to +20.
• Impress your friends with your ability to tab through form fields and arrow through saved field values!

Le dernier Supporter de la Section Paloise...

Après la descente en ProD2, à la fin de la saison précédente, après la saison qui bien mal commencé, que reste t-il a la Section Paloise ? Rien ?

Et bien oui : un supporter ! Semper en Daban ! Ougna !!

L'héritage du Petit Nicolas !

Pour une fois ce n'est pas de polique dont on parle quand on dit "Petit Nicolas"... On parle d'un petit garçon que Caroline Cartier a rencontré dans son émission du matin "Cartier Libre"...

Le petit Nicolas a 6 ans, il ne sait pas lire, encore mais il a déjà compris comment les filles ça marche ou plutôt comment ça marche pas... Même en faisant des efforts !

Il faut sauver le petit Nicolas !

http://vousleshommes.blogs.com/vous_les_hommes/2007/02/le_petit_nicola.html
http://www.radiofrance.fr/franceinter/chro/cartierlibre/

Et pour les filles attention : il va devenir un vaurien !

A écouter sans modération !

nethique.info

Tiens, voilà une initiative intéressante de la part des médias en ligne.

La mise en place par des bloggers d'une initiative sur les règles de bons usages des blogs et de la façon de se comporter.

Nétiquette (extrait de Wikipédia France)

Contraction de Net (lui-même abréviation courante de Network, désignant Internet) et étiquette, la nétiquette est un guide définissant les règles de conduite et de politesse à adopter sur plusieurs médias de communication mis à disposition par Internet. Le document officiel définissant les règles de la nétiquette est la RFC 1855. Il y a dans ce document des règles générales, puis des règles spécifiques à un moyen de communication. S’il ne fallait retenir qu’une règle : Ce que vous ne feriez pas lors d’une conversation réelle face à votre correspondant, ne prenez pas Internet comme bouclier pour le faire. À cette notion de courtoisie et de respect de l’autre viennent ensuite se greffer des règles supplémentaires relatives aux spécificités de chaque média.

Une charte, bien entendue participative est en cours de rédaction.

http://nethique.info/charte/

Quand finalement, la bienséance en ligne devient la même que ailleurs... dans la vrai vie !

L'AdaBD et les dédicaces de Bande dessinée...

L'AdaBD, l'Association des Auteurs de Bandes Dessinées, a pas mal communiqué après les évènements du festival d'Angoulême. Il semble que à raison, les auteurs se plaignent de la place qui leur est fait dans la nouvelle mise en place du festival et autant, ils sont prêts à entendre une année de transition, autant, il ne faut pas que ces soubresauts s'installent dans les usages des festivals.

Voilà dans tous les cas, une bonne occasion de redécouvrir les versions de la Charte des Dédicaces. Et comme le dit Maëster :

La dédicace est un don et pas un dû.
Soyons dignes d’un don et pas dingues
d’un dû.
Maëster

Ainsi, les festivals sont en train de plus en plus comme le public d'oublier que les livres ne sont ps fait uniquement pour être dédicacé ou plutôt pour être des oeuvres avant tout, et la dédicace ne reste qu'un prétexte pour une rencontre, une discussion, une opportunité pour boire un coup finalement,...

Seulement, c'est pas toujours ça, bien au contraire...


On trouve en ligne une version de la charte là :
http://www.mdabd.com/viewtopic.php?t=791 ou encore une version pdf sur le site de ActuaBD. Il est intéressant de la relire et de se souvenir...

Le travail d’un auteur de ban-
de dessinée est de faire de la
bande dessinée.La dédicace es
un exercice supplémentaire qui ne
fait pas partie de son travail et n’es
pas rémunérée. L’auteur est donc
libre d’accepter ou non de s’y livrer.
On ne saurait le lui imposer.

Ainsi, il faut se rappeler que quand un auteur vient, il n'est pas comme les visiteurs en train de passer un week end sympa de l'autre coté de la France, mais qu'il est souvent loin de sa famille, qu'il a peut être la chance de retrouver des pôtes, mais qu'il va passer 8 heures derrière une table à voir des mecs qui ne veulent pas parler et qui demande des "Mickey"...

Enfin, le reste est tout aussi intéressant et on devrait le mettre sur les programmes de pas mal de festivals...

Vite...

From Milo

Je cours... Déjà la nuit tombe et je veux rentrer...

Encore un festival de Bande dessinée à Toulouse ?

Après les bonnes nouvelles d'Angoulême enfin pour la Comédie des Bulles qui devrait finalement voir sa première édition en 2007, si les dieux de la Bande dessinée le veulent. Après l'annonce de la seconde édition de Bulles d'Ombre au centre culturel de Jean Rieux. Après le renouveau de Colomiers, une nouvelle édition des rencontres BD de l'N7 ou encore les festivals qui vivent à la périphérie de Toulouse, voilà qu'une nouvelle initiative trouve de l'écho sur les forums BDGest !

Peu d'information pour le moment, si ce n'est l'essentiel : le festival a pour but de générer une aide pour les enfants handicapés et hospitalisés en leur permettant un accès à la Bande Dessinée.

Autour de ce thème, des ventes d'originaux, des récoltes de BDs "usées", des animations et des dédicaces qui serviront de support à des dons !

Pleins de précisions encore à prendre mais voilà une initiative plus agréable que celle de la Comédie l'an dernier ! Et une communication en avance elle !

Quelques auteurs auraient déjà annoncé leur présence :

• - Masbou, qui fait l'affiche
• - Turf
• - Tarquin
• - Guarnido
• - Herenguel
• - Pierre Loyvet
• - Louis
• - Mitric
• - Salsedo
• - Léturgie, qui a fait notre joli logo
• - Duval et Gioux
• - Neel
• - Coyote et Nini Bombardier
• - Espé
• - Labiano
• - Boube
• - Tebo
• - Verron
• - Lereculey
• - Ullcer
• - ... 35 auteurs en tout seront là !!!

On trouve de l'info sur le forum BDGest pour le moment essentiellement :

Le festival :
http://www.bdgest.com/forum/bdgest/Solidarite-entraide-dans-la-bd/festival-collecte-vente-profit-enfants-handicapes-sujet-38043-1.htm

La collecte de BD :
http://www.bdgest.com/forum/bdgest/Ventes-Echanges-Achats/collecte-profit-enfants-hospitalises-sujet-39769-1.htm

La vente d'originaux :
http://www.bdgest.com/forum/bdgest/Festivals-rencontres-et-expos/Vente-dessins-planches-DEL-OTTO-ZEP-MASBOU-POINSOT-LERECULEY-sujet-38880-1.htm

Voilà que l'automne va être autrement agité !
Mais qui êtes vous donc vous qui faites ça ? Il parait que l'association est "BD Rose" qui se cache là derrière ;o)

Quelques rencontres "Bande dessinée" en un portrait !

Mathieu Lauffray

From Quelques renc...

Rugby : que reste t-il de l'esprit ?

Encore une question de fond, encore une question à laquelle je ne sais pas répondre. Encore une question stupide, sûrement...

En un peu plus de 10 ans de professionnalisme, qu'est devenu le Rugby. Marron, fort de ces dessous de table et autres amateurisme marron, il retait toutefois une sorte d'îlot à l'abris des médias et des enjeux économiques. Bien sûr il existait des phénomènes médiatiques : le Show Biz, les Rapetous, ... mais à chaque fois la durée de l'évènement n'avait pas été bien longue...

Et l'on finissais toujours, à Lourdes au bar de la tribune du stade Antoine Beguère pour un Section vs FCL XV, à boire un demi en ce disant que ce n'était pas prêt de changer. Et pourtant, un matin, les vieux par-dessus de l'IRB, l'International Rugby Board, ont pris la décision de rendre le Rugby, celui de nos parents et grands-parents : OPEN !

Open voulant dire que les professionnels et les amateurs pouvaient collaborer... sur un même terrain. Bien sur dans les premiers mois, on a bien rigolé, les moyens n'étaient pas là et personne ne serait plus professionnel du jour au lendemain. Mais avec les années, l'argent s'est introduit de plus en plus dans le circuit, les joueurs ont réclamé toujours plus et les clubs ont suivis...

Après une grosse dizaine d'année, le championnat est à 14 clubs, le tournoi à 6 et la coupe d'Europe à remplacer le Challenge Yves Du Manoir dans le calendrier... grossièrement...

Et on se fait chier sur les terrains... tellement que l'on va plus au stade... de toute façon ça passe à la télé...

Tout est dit !

Le Tournoi des 6 nations a commencé mais la magie n'existe plus. Les stades ont encore changé, ça ne fait rien et finalement, ça fait tout. Nous avions eu le même phénomène dans les années 80/90 en championnat de France, la rénovation des stades devennant trop chère, le rugby se devant de faire de plus en plus d'entrée, les clubs avaient migrés vers des enceintes plus grandes plus spacieuces, plus professionnelles et moins humaine : le Stado, le Stade Toulousain, Narbonne, Bézier, Mont de Marsan, la Section malheureusement et tellement d'autres...

Un peu de la légende était perdu dilluer dans le nouveau stade. Les rythmes de compétition se sont accélérés et finalement, de 80 clubs sur un mode "Jambon" et avec des phases finales qui nous faisaient vibrer, sur un champion différent tous les ans... nous nous sommes "normalisés' comme tous les sports qui sont formattés pour les médias. Des formules plus simple, plus lisible, des championnats réduits pour connaitre les acteurs, des investissements lisibles et sans risque, et une médiatisation à outrance... Nous y avons perdu un rugby...

Bien sûr le rugby existe encore mais j'ai pas envie d'aller au satde... si pour voir des minots qui jouent !

Angoulême 2007 (4) : Et après ?

En forme de conclusion, ce festival a marqué une étape dans la vie de la bande dessinée. Angoulême était pour des amateurs comme nous le rendez vous incontournable de l'année. Il reste un évènement, mais est il aussi essentiel dans la vie de la Bande dessinée en France... Ce n'est pas sûr !

Il est devenu beaucoup plus traditionnel, moins inscrit dans la ville, il est beaucoup plus "éditeurs" que "auteur" et "amateur".

Le fan de dédicaces et amateur de parabd y trouve son compte, tout est sous la main dans le Salon des Editeurs, pas la peine de bouger pour trouver des informations, pour passer d'une maison d'édition à l'autre. Le challenge est donc bien dans ce cas de faire le plus possible de cycle pour ramener tout ce que l'on peut et en profiter pour préparer son retour sur eBay...

Concert de dessin, match d'impro... tout un programme
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Ce sera aussi un Angoulême porteur de nouvelle façon de se rencontrer et de se parler, une façon de mettre en place de vrai échange sur la base des concerts de dessins, des matchs d'impro et des rencontres qui ont pu être mises en place.

Quel plaisir de passer une heure ou deux à interroger, échanger, parler, raconter comment une bande dessinée se construit techniquement ou sur le plan du fond en fonction des interlocuteurs. Une façon de comprendre la démarche artistique et technique, une façon de mettre en avant que la bande dessinée est d'abord une histoire de personnes qui veulent raconter des histoires, de jolies histoires !

Finalement la bulle des éditeurs est grande mais ne présente plus aucune particularité avec d'autres festivals si ce n'est que c'est la plus grande... Avec presque tous les éditeurs et encore... Quelques petits ne viennent déjà plus à cause des couts.

Ce qui reste intéressant, c'est la présence des fanzines et des indépendants comme des paras dans la même bulle. C'est la première fois que je vois Angoulême dans ces conditions et pour ces aspects il est vrai que c'est intéressant.

Le soucis c'est finalement qu'une fois que l'on est scotché dans la Bulle plus de raison de sortir et c'est la fin des rencontres et de la liberté des festivals. L'engrenage des dédicaces en somme.

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Le forum Leclerc a bien tenté des animations mais il est perdu dans le brouhaha de la Bulle et finalement, bien que les initiatives soient excellentes, elles ne peuvent pas être suivies.

Quelque chose est en train de se construire. Quelque chose de différent. Par exemple, nous ne pouvons plus passer à coté des mangas... Ils sont partout !!!! Je ne pense pas qu'il y ait un mieux ou un pire, seulement des changements nécessaire... ou tout au moins qui le serait devenus.

Conférence Actualité & BD
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Mais des plateaux comme celui ci on est pas capable de les mettre en place partout !!

A l'année prochaine, les dates sont prises !

Ce soir, c'est le Black Out ?

Guinness
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Aujourd'hui est un grand jour, les écologistes deviennent actifs et ne sont plus des militants passifs uniquement. Ils prennent les armes et choissessent de mener des actions fortes et médiatiques.

Ainsi, ils proposent ce soir d'éteindre entre 19h55 et 20h00 toutes les lumières et les consommations électriques en France.

L'idée est simple et originale... Je prends mon disjoncteur et ... OFF !

Plus rien le balck out, plus de lumière, plus de musique, plus de bruit, plus rien, des bougies peut être mais d'une certaine façon une extinction de ce que la lumière et l'énergie propose... Je ne sais pas si ils ont aussi demandé aux voitures de s'arrêter de rouler, mais ce pourrait être une bonne chose...

Pendant ces 5 minutes, la France ne va pas changer, les gens qui feront ça auront bonne conscience, et après ... On rallume violemment tout, on met la musique à fond ? On laisse un peu plus éteint pour profiter du calme ? On va se coucher ? ou on regarde le 20 heures de TF1 ?

L'action est interessante mais elle se place une nouvelle fois dans le court terme sans ambition, sans objectif, sans revendication, et surtout sans réalité !

Faisons de l'évènement, ça pourra toujours rapporter quelque chose !

On dirait que le maitre mot de la campagne est là et des actions en cours, faire des médias. Mais où sont les idées, les débats ? Perdu depuis que les Socialistes ne les mênent plus entre eux... Perdu entre les batailles de l'extrême gauche pour des luttes de pouvoir, perdu dans le flou du milieu de Bayrou, perdu dans la communication de Sarkozy ou ailleurs...

Le meilleur qui pourrait arriver, finalement, c'est que pour rallumer tout ça, les appels en courant soient trop fort et que le réseau s'écroule : la dépendance est plus forte qu'ils ne le croient !

En daban, sampre !